Voyage au fil du Nil

 

Arrivée au Caire  « Al Qahira », « la triomphante » est la plus grande métropole du monde arabe et de l’Afrique

ou Kemet, la « Terre Noire » la terre des Pharaons

vers le  plateau de Saqqarah et pyramide de Djoser

MEMPHIS, première capitale de l’Egypte unifiée

La nécropole de Guizeh il faudra attendre les flèches des cathédrales gothiques , 4 millénaires plus tard, pour voir des constructions humaines s’élever aussi haut.

Philae, la perle de l’Egypte le  8 mai 1968, René Maheu, directeur général de l’Unesco, lançait un nouvel appel pour le sauvetage du dernier grand temple d’Egypte menacé par les eaux. Une fois déterminé l’ilot d’accueil, l’îlot voisin d’Agikia plus élevé, ses contours furent redessinés à l’image de l’ile originelle qui avait la forme d’un oiseau. après 8années de travaux, le temple fut inauguré le 10 mars 1980.

le lac Nasser et les colosses d’Abou Simbel dans leur nouvel environnement

Où l’on découvre les Temples rupestres dont Champollion disait « qu’ils effraient l’imagination ». SONY DSC

Le temple de Nerfertari

Croisière sur le lac Nasser

sur la rive gauche du Nil, dans un environnement sublime, 2 temples Wadi Es-Saboua

appartient au programme de construction ordonnées par Ramsès II entre la  1ère et

la 2 ème cataracte

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Dakka dédié à Thot – IIème s. av. N.E

 

nous poursuivons vers Kalatcha, construit sous le règne d’Auguste, ce grand temple fut le centre religieux des Blemmyes qui conserveront jusqu’au règne de Justinien , le droit de célébrer Isis. c’est là, que chaque année, était conduite la statue de l’Isis de Philae sur une barque.

 

 

Naviguer sur le Nil l’espace d’une croisière, c’est allier le plaisir du farniente à celui d’un voyeurisme de bon aloi.

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Le Nil se rétrécit, le désert se rapproche, la végétation change. Aux palmiers-dattiers se succèdent les doums, d’autres palmiers plus résistants. A l’ouest, les dunes plongent dans le fleuve; à l’est, le djebel Silsileh, entaillé, ce sont les anciennes carrières qui fournissaient les pierres pour les temples de haute Egypte.

Kom Ombo, très original puisque double temple, dédié à Sobek, le dieu-crocodile dans sa partie droite, à gauche au dieu faucon, Haroeris(Horus l’ancien), son épouse Tasenetnefrêt et leur fils Panebtaout.

continuation vers le temple d’Edfou dédié au dieu Horus et à sa mère la déesse Hathor

 

Karnak, la ville-temple d’Amon-Rê

 

Thèbes aux cent portes

le temple funéraire d’Hatchepsout, Deir El-Bahari

les colosses de Memnon, temple funéraire d’Aménophis III

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sur la route d’alexandrie

 

Tanis, capitale oubliée carnets de voyages

 

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